mardi 8 septembre 2009
Coutumes capillaires
Désireux de soigner mon sex appeal, j'avais décidé d'aller chez le coiffeur. Comptant parmi mes compañeros un coiffeur, je décidai de me rendre dans son salon, certes modeste mais équipé des derniers outils : tondeuse dernier cri, ciseaux gris métallisés, bac à eau imitation marbre, j'en passe et des meilleurs.
Profitant du récent radoucissement, j'optais pour une formule barbe+cheveux, tant qu'à faire les choses, autant les faire jusqu'au bout.
Le rasage de drue barbe ne prit que quelques minutes et se déroula sans encombre. Rapidement mon chamigo s'attaqua donc à la partie supérieure de mon crâne. Maniant le ciseau avec dextérité, je lui fis très vite confiance et lui indiquai que je ne voulais qu'un léger "débroussaillage". Après une bonne dizaine de minutes, l'opération se termina et je pus donc découvrir mon nouveau style capillaire. Somme toute assez classique sur le devant, celui-ci était déjà beaucoup plus atypique sur partie postérieure du crâne. Ayant, par souci de faciliter mon intégration dans le pays, décidé de me faire une coupe "à l'Argentine", mon camarade coiffeur m'avait laissé une longueur de poil assez importante dans le cou.
Pour tenter une description, je pense c'est un mélange entre la coiffure de Jürgen Klienhsmann lors de l'Euro 96 (pour les fans de foot), le style à la Rudi Voller (autre star, s'il en est, du football teuton) et la célèbre coupe mulet qui frappe tous les quartiers de France et de Navarre.
Le résultat demeurant assez indescriptible, je vous laisse juger par vous même grâce à la photo.
Finalement, c'est avant tout une coupe locale qui permet de poursuivre mon argentinisation et ce jusqu'au bout des poils.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
ah... tjs l'influence du concurrent espagnol. C'est la mm ici à Madrid, ms ils arrivent à des trucs très inventifs à partir du mulet, il ne faut pas croire
RépondreSupprimer